Quelque 122.500 personnes, dont 18.600 professionnels et plus de 9.000 étudiants, ont visité le Salon international de l’informatique, de la bureautique et de la communication dans sa 20c édition, a affirmé M. Hossein Idir, directeur de l’entreprise « Mira Cards Edition ».
Approché par l’APS, samedi dernier, à la clôture des travaux du Salon au palais des Expositions aux Pins Maritimes, M. Hossein a indiqué que plus de 350 entreprises étrangères spécialisées dans les Technologies de l’information et de la communication (TIC) avaient participé à ce Salon par l’exposition de produits technologiques de nouvelle génération.
En outre, ajoute-t-il, quelque 50 accords de partenariat ont été signés avec plusieurs entreprises nationales et étrangères et pas moins de 50 postes de travail ont été créés notamment dans les domaines des TIC, du tourisme, de l’hôtellerie et de la comptabilité.
M. Hossein a, par ailleurs, souligné l’importance de ce salon, estimant qu’il constitue une opportunité pour s’enquérir des dernières nouveautés et tirer profit des expériences internationales pionnières dans le domaine.
Le président de l’office au sein du ministère de la Poste et des Technologies de l’information et de la communication (PTIC), M. Mohamed Dammou a affirmé que le taux de visite à ce Salon oscillait entre 20 et 30 % par rapport à 2010.
Le programme de la 20e édition de ce Salon était « riche notamment en matière de rencontres et de conférences scientifiques animées par un nombre d’experts algériens et étrangers », a-t-il relevé, soulignant que le développement nécessite la maîtrise des TIC.
Selon les organisateurs, le Salon a vu l’organisation par des experts algériens et étrangers de conférences axées notamment sur la numérisation de la télévision et la radio, le développement de l’agence Algérie Presse Service (APS), la presse électronique et l’archivage électronique de la presse écrite.
D’autres conférences ont été animées dans le cadre de ce Salon traitant notamment de la « E-Algérie : l’avancement de l’application », « les opérations financières électroniques et le e-commerce », « la cybercriminalité » et « le recrutement électronique ».