Hausse importante des prix de denrées alimentaires de large Consommation

Hausse importante des prix de denrées alimentaires de large Consommation

Les citoyens algériens commencent à subir de plein fouet les conséquences de la crise sanitaire. Les prix des denrées de première nécessité sont à la hausse partout et sur tous les marchés à travers le territoire national, depuis la fin octobre et début novembre.

Les prix des différents produits alimentaires de large consommation ont connu, ces derniers jours au niveau des différents marchés de l’Algérien une forte hausse, des augmentations qui touchent la quasi-totalité des produits, et même ceux qui sont fabriqués localement.

La hausse des prix n’a pas épargné les différents produits alimentaires de large consommation, notamment le lait, le café, sucre, œufs, l’huile, des pâtes et du couscous…, les prix des toutes les denrées alimentaires de première nécessité ont augmenté, dans l’ensemble, avec un prix moyen de 05 Da à 30 Da, la brique de lait qui a augmenté de 10 DA, ou encore la bouteille d’huile végétale dont le prix connaît une hausse qui varie entre 5 DA et 10 DA, les de ces produits ont également augmenté, Mayonnaise : 170 da, flan : 25 da, lait Candia : 100 da, margarine Matina : 160 da, huile de table : 130 da, moutarde : 140 da, lait en poudre Loya : 415 da, levure boulangère entre 100 et 250 da.

Les consommateurs ont également fait état d’un manque et pénurie de plusieurs produits, parmi eux, les pâtes, le couscous, et autres produits à base de farine et de blé de fabrication locale. En cause, la suspension de la subvention du blé tendre et dur par l’État algérien début septembre, au moment où ces matières de base sont nécessaires à la fabrication des pâtes et du couscous.

La flambée des prix rencontrée ces derniers jours dans le pays concerne également plusieurs autres produits de consommation. Les fruits, les légumes et les viandes ne dérogent pas à la règle et cela, touche surtout les produits cultivés en Algérie. Même les fruits et légume de saisons coutent « trop cher » par rapport à ce que les consommateurs se sont habitués, ouvrant ainsi la voie à la spéculation.

Rédaction d’Algérie360