La plupart des musulmans du monde célèbrent, dimanche, l’Aïd el-Fitr, marquant la fin du mois de jeûne du ramadan. Mais la fête est assombrie cette année par des mesures de confinement pour endiguer la pandémie de Covid-19.
Malgré la propagation de la pandémie de Coronavirus, qui a forcé de nombreux pays musulmans à interdire les prières collectives de l’Aïd et tout rassemblement, craignant la propagation du virus et un nouveau pic de l’épidémie, certains pays musulmans ont autorisé les prières de l’Aïd à certaines conditions.
Parmi les pays les plus éminents qui ont autorisé la prière de l’Aïd se trouvent ceux d’Asie, comme l’Indonésie, le pays musulman le plus peuplé, et ses voisins la Malaisie et la Thaïlande, ainsi que le Pakistan et l’Afghanistan, ainsi que Ghaza, en Afrique, on trouve la Côte d’Ivoire, l’Afrique de Sud et d’autres pays, les gouvernements de ces pays ont fixé plusieurs conditions et mesures de précautions avant de prendre une telle décision, notamment le port obligatoire de masque de protection, ainsi que le respect de la distance sociale de sécurité entre les fidèles et la stérilisation des mains.
Rédaction d’Algérie360
