2018, l’année du doute… !

2018, l’année du doute… !
Tout d’abord, remercions le Tout Puissant pour toutes les bonnes choses et les grâces qu’il nous a données en nature environnementale, que nous n’avons pas su sauvegarder, en soleil que nous n’avons pas su exploiter, en eau de pluie limpide qu’on n’a  pas su  stockée, en terre arable, que nous avons transformé en désert inexploitable et en lots de terrain à bâtir, en mer que nous avons polluée …. Voilà que 2017 s’en va, non sans avoir laissé son lot de séquelles de faits divers marquants et son austérité de vaches maigres, que remplace dans quelques heures, 2018, l’année du doute, où la Loi de finances prévoit une série de mesures législatives et fiscales allant dans le sens de la consolidation de l’investissement productif et du renflouement des recettes budgétaires, tout en maintenant le dispositif de la solidarité nationale.  2018, sera bien, sera pas bien, les gens s’interrogent et se concertent entre eux, peut-être qu’elle sera bien, s’il y a adoption des réformes nécessaires propres à chacun de nous pour une amélioration d’une meilleure qualité du comportement humain, dans la prise en charge de notre si merveilleuse Algérie aux mille et un potentiel. 2018, sera meilleure, à condition de faire du travail humain, une question intellectuelle et politique prioritaire. Elle sera préférable à 2017, à coup sûr, quand les plus pessimistes s’arrêteront de s’apitoyer sur leur sort, notamment devant la crainte de l’austérité, comme rapporté par les grands penseurs qui ont expliqué que ‘’l’hypothèse la plus sereine de l’être humain, c’est son optimisme’’. Grâce aux efforts consentis par tout un chacun, une future et bonne croissance sera d’un bon apport aux racines structurelles nécessaires à l’économie ‘’plus naturelle’’ issue de tout ce que Dieu nous a offert en meilleures choses à la qualité inestimable de la vie, qui conviennent si parfaitement à nos besoins nécessaires et notre bonheur à tous. 2018, ne sera probablement pas bien, si à chaque période de mutation de l’économie, la panique et la peur se font grandissantes, très particulièrement dans les pays où les couts des ressources pétrolières sont instables. Quant à leur prix cadencé (les ressources), d’où l’image d’une austérité assez brutale très souvent liée à une baisse de la valeur de ce produit, grandit en nous, avec toujours l’éternelle dépendance à cette ressource. 2018, devrait être l’exploitation des ressources naturelles, le nouvel avenir d’un monde nouveau sans crise ni pollution.
Benyahia Adda