L’Algérie et la France se sont échangé une liste comprenant 20 noms de nos compatriotes établis en France, soupçonnés d’appartenir à la nébuleuse Daesh. Ces personnes auraient échangé par voie électronique, des messages explicites faisant part de leur intention de commettre prochainement des attentats-suicides en Irak et en Syrie. Les services de sécurité et des renseignements algériens ont par ailleurs fourni des données sur 12 personnes ayant déjà fait l’objet de mandat d’arrêt, à cause de leur implication dans des affaires liées à des opérations terroristes.

A lire aussi