1,9 million de touristes étrangers et nationaux résidant à l’étranger enregistrés durant l’année 2010

1,9 million de touristes étrangers et nationaux résidant à l’étranger enregistrés durant l’année 2010
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L’Algérie a enregistré 1 million 900 mille touristes étrangers et nationaux résidant à l’étranger, pour l’année 2010, dont 500 mille de différentes nationalités, a affirmé jeudi à Alger le ministre du Tourisme et de l’Artisanat, Smaïl Mimoune. « Nous avons enregistré 1 million 900 mille touristes étrangers et nationaux résidants à l’étranger.

Les touristes étrangers étaient de nombre de 500 mille », a déclaré à la presse M. Mimoune en marge des travaux en séance plénière consacrée aux questions orales à l’Assemblée populaire nationale (APN). Interrogé sur le premier bilan du tourisme saharien, le ministre a exprimé son optimisme quant au nombre de touristes ayant visiter le Sud, et ce, tout en déclarant que ladite saison ne se terminera qu’en mois d’avril, période dans laquelle, a-t-il dit, nous pouvons établir le nombre exact.

« Le tourisme réceptif c’est surtout au Sud et pour l’instant ça marche bien. Il faudra attendre le mois de mai pour faire le bilan « , a-t-il ajouté.

Par ailleurs, concernant l’implication de son secteur dans la création de nouveaux postes d’emploi, le ministre a précisé qu’il est prévu, pour la période 2010-2014, environ « 380 mille nouveaux postes de travail dont 210 mille pour le secteur du tourisme et 170 mille pour le secteur de l’artisanat ».

LG Algérie

« Actuellement nous avons 700 mille postes de travail entre le tourisme et l’artisanat, mais nous nous oeuvrons pour la création de 380 mille nouveaux postes », a souligné M. Mimoune.

Un objectif qui ne peut être réalisé, selon le ministre, sans l’implication des investisseurs privés. « En tant qu’Etat, nous encourageons et accompagnons les investisseurs, à condition qu ils soient motivés et qu ils aient de la bonne volonté »,a-t-il expliqué, soulignant que l’Etat a accordé dans la loi de Finances complémentaire 2010, toutes les facilités nécessaires pour l’investissement dans les Hauts-Plateaux et le Sud.