Nouvelle sortie du député «Spécifique»: De graves accusations et des révélations fracassantes

Nouvelle sortie du député «Spécifique»: De graves accusations et des révélations fracassantes

graves.jpgInvité sur le plateau de la chaîne privée Beur TV, le député Tahar Missoum, est revenu sur plusieurs affaires de corruption, d’abus de pouvoir et des pressions avec «des dossiers à l’appui», insiste le député avec sa façon spécifique de développer ses thèses.

Tahar Missoum député élu de la wilaya de Médéa, revient sur plusieurs dossiers de corruption, de détournements et des dérapages très dangereux, «J’ai à ma disposition tout un dossier contre Mohamed El Hadi Aouaidjia, directeur de l’ANGEM. Ce monsieur bénéficie d’une totale impunité alors que sa gestion scandaleuse de cette agence laisse entrevoir plusieurs scandales», a-t-il accusé,«Des micro-crédits ont été accordés à des personnes décédées, des personnes fictives. De nombreuses subventions ont été détournées et des cadres de l’ANGEM ont relevé plusieurs abus de pouvoir. J’ai un énorme dossier que je vais transmettre au Premier ministre parce que la ministre de la Solidarité nationale refuse de le prendre en charge et préfère pleurer devant les caméras pour faire diversion”, ajoute encore Tahar Missoum devant le journaliste Abdou Semmar.

Le ministre de l’Industrie, Abdesslam Bouchouareb, n’était pas épargné par le député, «Ce sont des mensonges ! Ce n’est pas Sellal qui détient le pouvoir au gouvernement. C’est Abdesslam Bouchouareb qui est le plus influent. Il outrepasse toutes ses prérogatives. A Médéa, il a tout simplement ordonné au Wali de ne pas autoriser l’ouverture de ma station-service alors que Sellal en personne était intervenu auparavant pour demander à la wilaya de faciliter cet investissement qui est conforme à la réglementation de notre pays», rajoute Taher Missoum. «Au gouvernement, Abdesslam Bouchouareb détient son propre quota de Walis qui sont à son solde et qui n’obéissent pas à Sellal. Ce Bouchouareb dirige un gouvernement parallèle».