Après celui de Sidi Abdallah, d’autres technoparcs en passe d’être implantés à Oran, Annaba, Ouargla et Boughzoul

Après celui de Sidi Abdallah, d’autres technoparcs en passe d’être implantés à Oran, Annaba, Ouargla et Boughzoul

Le directeur de l’Agence nationale de promotion et de développement des parcs technologiques (ANPT), Abdelhakim Bensaoula, s’est exprimé, mercredi, à l’émission L’Invité de la rédaction de la chaine 3 de la Radio Algérienne pour expliquer le rôle joué par son organisme dans la création de start-up.

Notre mission, « en tant qu’instrument de l’Etat » consiste, dit-il, à exécuter la stratégie nationale de développement des technologies de l’information et de la communication en Algérie, par le biais de technoparcs (parcs technologiques) chargés de faciliter la création de start-up dans divers secteurs particuliers.

Des technoparcs projetés, dont seul celui de Sidi Abdallah, dans la wilaya d’Alger est opérationnel, M. Bensaoula signale que d’autres structures du même type sont projetés pour être progressivement implantées, d’abord à Oran, puis à  Annaba, Ouargla et Boughzoul.

Des résultats obtenus par l’incubateur de Sidi Abdallah, il indique que celui-ci a réceptionné 352 porteurs de projets parmi lesquels, ajoute-t-il, 201 ont été retenus donnant lieu à la création de 28 start-up.

Il précise que depuis les changements de modèles relatifs à la gestion de cet organisme, sur 33 nouveaux projets déposés tous ont été retenus et se sont traduits par la création de 10 start-up.

Des projets soumis à l’appréciation du parc technologique de Sidi Abdallah, il explique qu’ils sont susceptibles d’intéresser divers domaines d’activités à l’exemple du secteur touristique, dans l’hôtellerie et la restauration, en particulier, mais aussi de la conservation d’énergie, de l’élaboration des tableaux de bord d’entreprises ou de gestion. Autant d’applications, dit-il, qui contribuent à asseoir une économie efficace et optimale.