Le bilan Covid-19 en Algérie passe sous la barre des 200 cas

Le bilan Covid-19 en Algérie passe sous la barre des 200 cas

Le bilan de la COVID-19 demeure stable en Algérie, le bilan présenté ce dimanche,14 février, par les autorités sanitaires fait état d’une légère baisse, et passe sous la barre des 200 cas

L’Algérie a donc enregistré 198 cas confirmés durant les dernières vingt-quatre heures, contre 210 la veille samedi.

Le pays a également recensé 04 nouveaux décès durant les dernières vingt-quatre heures, marquant une hausse comparativement à la veille où 03 décès avaient été enregistré.

Les guérisons ont baissé, passant à 183 patients complètement rétablis ayant quitté les établissements hospitaliers les dernières vingt-quatre heures, contre 188 samedi, a indiqué le porte-parole du Comité scientifique de suivi de l’évolution de la pandémie de coronavirus, Dr Djamel Fourar. 

Le bilan de la pandémie en Algérie

Ces nouvelles données font augmenter porter le nombre total des cas confirmés depuis le début de la pandémie en Algérie à 110.711  personnes, qui ont été infectées par la maladie depuis le début de la crise sanitaire.

Tandis que, Celui des décès  est passé a 2.939 cas, qui ont succombé au virus depuis son apparition sur le sol Algérien.

Alors que le nombre de patients guéris est passé à 75.999,  selon les précisions du Dr Fourar, données lors du point de presse quotidien consacré à l’évolution de la pandémie.

Saidal producteur exclusif du “Spoutnik V” en Algérie

La production locale du vaccin russe anti-Covid19, “spoutnik V”, sera assurée exclusivement par le groupe pharmaceutique public “Saidal”.

Les deux parties, russe et algérienne, veulent produire la matière première en Algérie, ce qui fera de ce vaccin, un produit 100% local.

Le partenariat algéro-russe se fera en deux étapes. La 1e est ” la production locale à partir de la matière première devant être fournie par la partie russe, ensuite la production de la matière première en Algérie, puis la production locale de ce vaccin dans son entier.

Par conséquent, le ministère de la Santé a annoncé l’installation, la semaine dernière, de deux commissions, la première devant se charger de l’organisation des moyens industriels pour le lancement de la production, tandis que la deuxième aura à traiter le volet biotechnologie et les intrants nécessaires à la production de la matière première.

Les deux commissions travaillant en collaboration avec les experts russes pour la mise en place de la plateforme de production.