Deuxième soirée du DIMAJAZZ: Salif Keita enflamme le “Zénith” de Constantine

Deuxième soirée du DIMAJAZZ: Salif Keita enflamme le “Zénith” de Constantine

La deuxième soirée de la 4e édition du festival international « Dimajazz » (du 19 au 24 novembre 2016), qui s’est déroulée hier, samedi, déroule au Zénith « la salle Ahmed Bey »  de Constantine, a démarré avec un quartet de jeunes musiciens de moyenne d’âge de vingt-cinq ans, baptisé «  The Cairo Jazz Station ». Formé il y a tout juste une année et demi, et issus de différentes nationalités, ce groupe comporte l’accordéoniste portugais Cordeiro Barrada Joao Miguel,le contrebassiste italien Lari Loris, le joueur du Saz  (un luth à  manche long ) l’égyptien Abdellah Abozerkry et le percussionniste turc Ismail Altonbas.

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Un collectif qui fait une musique qui intègre différentes influences musicales occidentales et orientales et qui présente des titres originaux composés par les différents membres du groupe, basés sur des improvisations comme point de départ.

Les quatre musiciens ont montré tout au long du spectacle leurs maitrises instrumentales qui ont fait le bonheur du public  très attentif à la moindre prouesse technique de la part des exécutants, tantôt dans des gammes occidentales et  tantôt dans des gammes orientales.

La surprise dans cette première partie de la deuxième soirée est la montée sur scène du percussionniste algérien Mustapha El Annabi qui rejoint « The Cairo Jazz Station » avec  sa derbouka pour un duo ou plutôt un « duel » percutant avec le turc Ismail Altonbas.

©Nabil Kader 

En deuxième  partie, changement de décor et de style avec de l’afro beat du célèbre chanteur malien Salif Keita appelé « tonton Salif » par les nombreux spectateurs maliens venus spécialement pour applaudir leurs idole. la star a fait danser tout le public présent, pendant toute la durée de sa prestation, le « Zénith » était en folie, le rythme battait son plein, la fête était bien au rendez-vous, cette soirée!

Au programme pour la troisième soirée du festival « Dima jazz » la soul woman Martha High qui a longtemps  était choriste de James Brown, présente à Constantine pour nous faire vibrer dans une musique qui revient à la terre de ses origines « l’Afrique », et notre Djamel Sabri national du groupe  « Les Berbères ».Formé il y a tout juste une année et demi, issus de différentes nationalités, comportant l’accordéoniste portugais Cordeiro Barrada Joao Miguel,le contrebassiste italien Lari Loris, le joueur du Saz  (un luth à  manche long ) l’égyptien Abdellah Abozerkry et le percussionniste turc Ismail Altonbas.

Un collectif qui fait une musique qui intègre différentes influences musicales occidentales et orientales et qui présente des titres originaux composés par les différents membres du groupe, basés sur des improvisations comme point de départ.

Les quatre musiciens ont montré tout au long du spectacle leurs maitrises instrumentales qui ont fait le bonheur du public  très attentif à la moindre prouesse technique de la part des exécutants, tantôt dans des gammes occidentales et  tantôt dans des gammes orientales.

La surprise dans cette première  partie de la deuxième soirée du « Dimajazz » est la monté sur scène du percussionniste algérien Mustapha El Annabi qui rejoint « The Cairo Jazz Station » avec  sa derbouka pour un duo ou plutôt un « duel » percutant avec le turc Ismail Altonbas.

En deuxième  partie, changement de décor et de style avec de l’afro beat du célèbre chanteur malien Salif Keita appelé « tonton Salif » par les nombreux spectateurs maliens venus spécialement pour applaudir leurs idole. Salif Keita a fait danser dans presque une ambiance de trans tout le public présent, pendant toute la durée de sa prestation, le « Zénith » était en folie, le rythme battait son plein, la fête était bien au rendez-vous, cette soirée-là !

Au programme pour la troisième soirée du festival « Dima jazz » la soul woman Martha High qui a longtemps  était choriste de James Brown, présente à Constantine pour nous faire vibrer dans une musique qui revient à la terre de ses origines « l’Afrique », et notre Djamel Sabri national du groupe  « Les Berbères ».

Nabil Kader

(Correspondance particulière pour la RédactionNumérique de « Liberté »)