La question de piratage du site « Echourouk On Line » par des pirates Egyptiens s’est transformée, à cause du conflit footballistique entre l’Algérie et l’Egypte, en un événement exceptionnel à travers le réseau Internet. Le piratage du site électronique du quotidien « Echourouk » a donné lieu à une guerre électronique ouverte entre les algériens et les égyptiens. Les lecteurs d’articles de Echourouk ont renié, concernant le piratage du site, dont le nombre dépasserait 52 milles, que les égyptiens ont détruit le site du journal, et il ont salué les algériens qui ont ciblé le site du ministère égyptien de l’information.
Devant l’évolution de la guerre électronique qui a été déclenchée via le réseau électronique, un hacker algérien a attaqué le site du ministère égyptien d’industrie militaire alors que d’autres ont promis de mener des attaques et intenses sur des sites Internet égyptiens si jamais ils pensent à s’attaquer aux sites algériens.
Un algérien pirate et bombarde avec du lourd le site du ministère de l’industrie militaire
Au moment où une équipe technique du site du quotidien « Echourouk » avait réussi à rétablir le travail quelques minutes après l’attaque anarchique dont il a fait l’objet par les pirates égyptiens, les techniciens du ministère égyptien de l’information n’ont réussi à rétablir les communiqués du site que quelques heures plus tard. Le hacker algérien a procédé à piraté le site du ministère égyptien de l’industrie militaire, pour ensuite redresser sa direction principale à travers l’expression « ici, la réponse au quotidien Echourouk, comme hacker algérien je dois répondre à toute attaque des droits de mon pays »
Le commentaire a été accompagné d’une photo de l’emblème national sur le site, en plus de son nom « Team Dos-Dz ».
D’autre part, les égyptiens ont effectué une attaque contre le ministère suite à leur incapacité à garantir une bonne protection au site piraté par les hackers Algériens et marocains. Leurs commentaires ont été focalisés sur la non activation du site pour des considérations pouvant combler les lacunes à la vitesse demandée.
Le piratage du site du ministère égyptien de l’industrie militaire a été un choc pour les égyptiens, qui ont été surpris par le hacker algérien qui jongle avec ses communiqués. Le ton est monté d’un cran dans les commentaires dans les différents forums via Internet, parallèlement avec le nombre d’informations de guerre électronique déclenchée entre les deux pays suite à l’attaque dont le site du quotidien « Echourouk » a fait l’objet il y a deux jours.